Aller mieux commence souvent par une prise de conscience dérangeante…
Mais ensuite, comment ne pas l’oublier?
Un quelque part en soi meurt d’envie que cette perturbation s’efface afin que tout redevienne comme avant…
Le conatus de Spinoza est une force de la nature insoupçonnée pour que le quotidien persiste à continuer d’exister.
Au réveil, le rêve s’échappe au grand galop, et l’oubli chasse ces nuages de l’âme perturbants.
Et tout redevient comme avant. Et l’on tourne à nouveau dans l’infernal cirque de la vie quotidienne…
Alors, comment garder cette mémoire vive allumée?
En opposant l’optimisme de la volonté au pessimisme de la pensée! Oui Je veux!
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